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«Face à des stratégies long-only de plus en plus standardisées, ce sont les produits alternatifs qui constituent les placements d’avenir pour les gérants actifs», selon Eric Syz.

La hausse des réserves destinées à couvrir les non-remboursements sur les cartes de crédit engendre un recul de 76% du bénéfice au premier trimestre.

Le premier trimestre s’est déroulé dans un contexte de crise sanitaire progressive engendrant une très forte volatilité sur les marchés, a précisé le groupe dirigé par Patrick Combes.

L’assemblée générale a notamment validé le renoncement au dividende au titre de 2019.

La grande banque a globalement dépassé les attentes et se montre confiante quant à l’année qui vient, malgré le coronavirus. L’action grimpe.

La contre-performance s’explique par les positions en monnaies étrangères, lesquelles ont essuyé une perte de 41,2 milliards.

La croissance a été alimentée par la principale division Pharmaceuticals, dont les revenus ont progressé de 3% à 12,26 milliards. L'action a clôturé en nette hausse.

Si les activités opérationnelles ont connu une évolution positive, les replis essuyés sur les marchés financiers ont pesé sur la performance.

Le total des recettes tirées des commissions a augmenté de 6% par rapport à l'année précédente.

En avril, la société immobilière a pu encaisser jusqu’ici 88% des revenus locatifs inscrits au budget. Les mois de mai et de juin s’annoncent plus difficiles.