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Peu avant midi, le Brent grimpait de 3,70%, à plus de 30 dollars, et le WTI bondissait de 4,15%, à 26,34 dollars.

La baisse de la demande est désormais estimée à -8,6 millions de barils par jour (mbj), et non -9,3 millions comme elle le prévoyait en avril.

Ce recul s’explique essentiellement par la diminution des prix des produits pétroliers et des hydrocarbures.

Le Brent termine sur une perte de 2,6% à 29,19 dollars et le WTI finit en retrait de 1,9% à 25,29 dollars.

Les réserves se sont établies à 531,5 millions de barils au 8 mai, soit une baisse de 700’000 barils. Les spécialistes interrogés par l’agence Bloomberg tablaient sur une hausse médiane de 4 millions de barils.

«Les ajustements rapides de la production face aux actuels déséquilibres profonds du marché pétrolier mondial ont déjà commencé à montrer des effets positifs», estime l’Organisation.

Le WTI était en baisse de 1,36%, à 25,43 dollars, dans les premiers échanges en Asie. Et le Brent était lui aussi en baisse de 1,4%, à 29,56 dollars le baril.

Le Brent clôture très proche des 30 dollars, en hausse de 1,2%, et le WTI finit nettement au-dessus des 25 dollars grâce à une poussée de 6,8%.

Le CEO Igor Setchine (photo à droite), proche de Poutine, évoque l’état dramatique du marché mondial du pétrole et les décisions prises pour réduire la production.

Aramco a enregistré un bénéfice net de 62,5 milliards de riyals au cours des trois premiers mois de 2020.