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La cadence de croissance s’est établie à 9% entre juillet et fin septembre, pour un chiffre d’affaires afférent de 12,82 milliards de dollars.

Cette commercialisation devrait représenter un moteur de croissance à court terme outre-Atlantique.

Le comportement adopté par Novartis était courant dans le domaine du droit des brevets et également conforme au droit des cartels, indique jeudi le gendarme de la concurrence.

Alors que le chiffre d’affaires semestriel s’est étoffé de 6% sur un an, le groupe table sur une cadence de croissance de 5 à près de 10% pour l’ensemble de l’exercice, contre environ 5% au dernier pointage. L’action lâche toutefois 2,24% à la clôture.

La direction relève une nouvelle fois ses ambitions pour l’ensemble de l’exercice, en termes de rentabilité essentiellement.

Le géant pharmaceutique a levé pas moins de 2,2 milliards de francs en cinq tranches.

La performance a été essentiellement alimentée par les biosimilaires, ouvertement privilégiés dans la stratégie du groupe rhénan.

Un paiement initial d’un milliard de dollars sera effectué par le groupe bâlois pour l’acquisition de la société de biotechnologies américaine.

L’accord conclu ouvre la voie à un lancement des biosimilaires Jubbonti et Wyost alors que les produits ont été approuvés aux Etats-Unis le 5 mars 2024.

Le géant pharmaceutique engrange un chiffre d’affaires de 11,83 milliards de dollars sur les trois premiers mois de l’année, en hausse de 9,5% sur un an. L'action clôture sur une montée de 1,8%.