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L’appréciation actuelle du franc constitue un obstacle pour les activités de services particulièrement exposées à la concurrence de la zone euro voisine.

L’inflation US a surpris à la hausse. Au Royaume-Uni, le recul de la livre et la forte croissance des salaires ont accentué les pressions inflationnistes.

Le gouvernement utilise pleinement sa marge de manœuvre budgétaire, avec un déficit public attendu à 3,1% du PIB pour cette année.

Une croissance japonaise inférieure à son potentiel est attendue pour cette année comme pour la prochaine. Reprise provisoire en Chine.

L’inflation US devrait remonter sous l’effet de l’énergie. Perspectives de hausse limitées au Royaume-Uni. La BoE devrait rester attentiste.

Après deux bons mois pour le secteur manufacturier des pays émergents, l’indice des directeurs d’achat de ces marchés a plongé en mai.

Le principal moteur de croissance est l’investissement des entreprises avec un cycle positif sur fond de marché du travail très tendu.

Le cycle économique français semble plus sensible aux évolutions politiques intérieures qu’au conflit sino-américain.

La prévision d’inflation globale annuelle est abaissée à 1,8%. Au Royaume-Uni, les risques d’accélération de la hausse des prix devraient être limités.

Il faut surveiller la divergence entre le repli des salaires et l’accélération de la hausse des prix à la consommation, qui pèse sur le pouvoir d’achat.