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L'engagement réel des investisseurs passe par une implication sur le terrain en rencontrant directement les personnes dans les entreprises.

L'économie mondiale se dirige vers un réchauffement de 4°C. Les adaptations liées au COVID-19 éviteront peut-être ce triste scénario.

Un optimisme prudent est de mise quant au fait que le pire est derrière nous sur les marchés financiers.

Jan Amrit Poser de J. Safran Sarasin explique comment le coronavirus sape les investissements.

La mobilisation à laquelle nous assistons est un modèle à suivre pour la lutte contre le changement climatique et d'autres défis.

L’UE travaille sur un label climatique avec un cadre précis afin de pouvoir classifier sur une base commune chaque véhicule d’investissement.

Les biens immobiliers offrent un énorme potentiel de réduction des émissions et de hausse des économies d'énergie.

Il serait préférable que la BCE ne puisse pas décider quelles entreprises sont durables et doivent être soutenues et lesquelles ne doivent pas l’être.

L’impact de l’épidémie, en particulier sur les prochains trimestres, est actuellement très incertain et il est fort probable qu’il soit sous-estimé.

Les investisseurs prévoyants seraient bien avisés de tenir compte du risque climatique des obligations souveraines.