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Paris (-0,82%) et Francfort (-1,39%) ont enregistré leur deuxième semaine de baisse depuis le début de l’année et la pire depuis mi-décembre. Londres a cédé 0,36% et Milan 0,86%. A Zurich, le SMI a cédé 0,78%.

Londres a progressé de 0,26% et le FTSE 100 a atteint plus tôt un nouveau sommet historique à 7934,66 points. Francfort a pris 0,60%, Milan 0,15%, tandis que Paris a cédé 0,18%. A Zurich, le SMI a avancé de 0,38%.

Paris a reculé de 0,07% et Francfort de 0,16%. Mais Milan a pris 0,36%, tout comme Londres, qui a été soutenue par les entreprises liées aux matières premières. A Zurich, le SMI a cédé 0,44%.

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Paris recule de 1,34%, Francfort de 0,84% et Londres de 0,82%. A Zurich, le SMI cède 0,58%.

Londres est monté de 1,04%, porté par Shell et la faiblesse de la livre. Paris a pris 0,94% mais Francfort a cédé 0,21%. A Zurich, le SMI a gagné 1,44%.

La Bourse de Francfort a gagné 2,16%, Paris 1,26% et Londres 0,76%, après avoir tenu une position attentiste en début de semaine. Plombé par ses poids lourds, le SMI a cédé 0,11% à Zurich.

Les indices ont peu fluctué sur la séance. Paris a légèrement reculé de 0,07%, tout comme Londres (-0,14%). Francfort a progressé de 0,35% et Milan de 0,39%. A Zurich, le SMI a cédé 0,75%.

Paris et Francfort ont fini à l’équilibre (+0,01%) mais affichent respectivement des gains de plus de 9% pour le CAC 40 et de plus de 8% pour le DAX au mois de janvier. Londres a très modestement reculé de 0,17%.

Le scénario comprend une «aggravation sévère de la situation géopolitique», «une hausse des prix des matières premières» et une «résurgence du COVID-19».