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L’indice de l’Université du Michigan s’établit à 68,1 points. C’est un peu mieux que les 67,7 qui avaient été anticipé par l’estimation préliminaire, ainsi que par les analystes.

Toutefois, hors prix volatils de l’énergie et de l’alimentation, l’inflation dit sous-jacente ralentit, à 3,9% sur un an contre 4,3% en juillet.

Comparé au trimestre précédent, et non en rythme annualisé, la progression est de 0,5%.

«Ce n’est pas la taille d’Amazon qui est en cause», indique l’autorité US de la concurrence, mais ses «méthodes illégales qui visent à exclure les concurrents, à les empêcher de se développer et à des alternatives d’émerger».

Au total, 675’000 biens fraichement construits ont été vendus, en rythme annualisé, soit une baisse de 8,7% par rapport à juillet.

L’indice du Conference Board est tombé à 103,0 points, contre 108,7 points en août, selon des données révisées à la hausse. Les analystes tablaient sur un recul à seulement 105,0 points.

Aucune avancée dans les négociations syndicales. Contrairement à Ford où de «réels progrès» ont été effectués.

«L’inflation est encore trop élevée, et je pense qu’il sera probablement approprié que le comité augmente encore les taux et les maintienne à un niveau restrictif pendant un certain temps», déclare l’une des responsables de la Fed.

Le mois dernier, 4,04 millions de maisons et appartements ont changé de propriétaire, en rythme annualisé, soit une baisse de 0,7% par rapport à juillet, et de 15,3% par rapport à août 2022.

Jerome Powell indique que l’évolution des taux dépendra de l’évolution de la situation économique: «une activité économique plus forte signifie que nous devons agir plus fort sur les taux».