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Le cours du baril new-yorkais termine en baisse de 54 cents à 61,67 dollars. Le Brent lâche 6 cents à 72,92 dollars.

Au moins 38 millions d’électeurs ont voté en avance, en personne ou par courrier, soit 40% de plus qu’en 2014.

Le résultat des élections de mi-mandat a peu de chances d’infléchir à court terme la trajectoire économique.

L’association professionnelle ISM estime qu’à 60,3%, l’indice des directeurs d’achats reste à un niveau élevé.

«J’annonce que nous allons contourner avec fierté vos sanctions illégales et injustes car elles vont à l’encontre du droit international», a dit le président iranien Hassan Rohani.

Les Etats-Unis veulent ramener les exportations de pétrole iranien aussi près de zéro que possible. Secteur bancaire également visé.

En octobre, les créations d’emplois ont pulvérisé les attentes. Le taux de chômage est quant à lui resté stable à son plus faible niveau depuis 48 ans.

Les échanges américains subissent un déficit record des importations en provenance de Chine.

De juillet à septembre, la productivité a progressé de 2,2% après 2,9% au deuxième trimestre, qui était la meilleure cadence enregistrée depuis début 2015.

Les prochaines élections à mi-parcours du Congrès américain sont un nouvel exemple des risques géopolitiques que les investisseurs doivent gérer.