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1,3 million de nouveaux chômeurs en une semaine, quasi inchangé.

Le rythme du secteur reste dans le vert en juillet mais il est en baisse comparée à juin.

Il s’agit du deuxième mois de hausse après trois mois de repli. De plus, la progression est supérieure aux attentes des analystes.

Sur la semaine achevée le 10 juillet, les réserves américaines ont baissé de 7,5 millions de barils. Les analystes tablaient sur une progression de 250’000 barils.

L’indice Empire State grimpe à 17,2 points contre -0,2 en juin. Les analystes tablaient sur une montée à seulement 5,8 points.

«La reprise est susceptible de faire face à des vents contraires (...) et une deuxième vague amplifierait ce défi. Les aides publiques resteront vitales», a déclaré la gouverneure Lael Brainard.

La progression de 0,6%, la plus forte depuis août 2012, est un peu plus élevée que les 0,5% attendus par les analystes.

Le déficit a atteint le niveau record de 864 milliards de dollars le mois dernier, alors qu’il était cent fois moins élevé en juin 2019.

Selon la Fed de New York, ils sont moins optimistes sur la croissance de leurs revenus ou sur les perspectives de recherche d’emploi par rapport à ce qu’ils anticipaient avant la crise.

Au total, 18 millions de personnes touchaient le chômage dans le pays, également en baisse par rapport à la semaine précédente mais à un niveau qui reste toujours particulièrement élevé.