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«Cette décision est principalement due aux changements d’habitudes de nos clientes et clients, qui utilisent de plus en plus nos services mobiles et sur internet», indique un porte-parole de la banque.

Nouvel ordre mondial: les infrastructures font toute la différence. «Le bâton et la carotte»: renaissance de la politique industrielle. Mégatendance: ce qu’il faut savoir sur les investissements en infrastructures.

Les détenteurs d’obligations libellées en dollars ont encore jusqu’à jeudi prochain pour se faire racheter leurs titres de dette par le groupe bancaire.

Ammar al-Khudairy, président du nouvel investisseur de la banque suisse, explique que le niveau de participation de 9,9% a été «soigneusement choisi».

Le fonds souverain du Qatar serait sur le point de participer à l’augmentation de capital que réserve la banque aux deux voiles aux investisseurs qualifiés, aux côtés de la Saudi National Bank, rapporte le Financial Times.

«Nous ne menons pas de discussion en vue d’un rachat et voulons rester indépendants», martèle le président Axel Lehmann auprès de l’agence Bloomberg.

Les perspectives se dégradent cependant dans l’industrie, tandis que la bonne santé du marché du travail s’inscrit en soutien de la consommation et donc des prestataires de services.

Chaque droit d’émission permettra d’acquérir deux nouvelles actions, le prix d’émission de référence se monte à 4,07 francs par titre.

Les marchés d’actions internationaux ont cédé quelque 5% durant le trimestre sous revue, dans le contexte du relèvement des taux directeurs, de l’accélération de l’inflation et des craintes de récession mondiale.

Vers 15h30, le titre affiche une remontée de 2,2% à 3,97 francs. Les analystes applaudissent le plan de remaniement mais s’inquiètent de l’effet de dilution que va occasionner l’augmentation de capital.