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L’indice mondial de confiance des investisseurs s’établit à 71,3, en hausse de 0,4 point par rapport au niveau de 70,9 enregistré en février.

Selon le baromètre EY, près de 60% des entreprises estiment leurs situation positives. Les pessimistes ne représentent plus que 4% du total, soit le plus faible niveau de morosité depuis 2011.

L’indice de l’Université du Michigan a augmenté de 4 points pour s’établir à 97,8 points alors que les analystes tablaient sur 94,6 points.

L’indice de l’Université du Michigan a augmenté de 2,6 points en février pour s’établir à 93,8 points. Moins que lors de l’estimation préliminaire et également inférieur aux attentes des analystes.

L’indice du Conference Board s’est établi à 131,4 points contre 121,7 points le mois dernier, soit bien au-dessus des attentes des analystes qui tablaient sur 125 points.

La fin du shutdown a toutefois donné un petit coup de pouce au moral des ménages, ce qui a permis à l’Université du Michigan de relever sensiblement son indice de janvier.

Les signes laissant présager une embellie sont à peu près contrebalancés par ceux annonçant une détérioration, selon le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco).

L’indice du Conference Board s’est établi à 120,2 points en janvier, contre 126,1 attendus par les analystes, selon une enquête réalisée en plein shutdown.

La confiance des consommateurs est tombée au plus bas depuis l’élection de Donald Trump, selon le baromètre mensuel de l’Université du Michigan.

Les investisseurs adoptent une approche plus défensive, en mettant davantage l'accent sur le risque, explique Babak Abrar de Natixis Investment Managers.