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L’assouplissement monétaire réussira-t-il à doper la croissance? Cela dépend de la nature de l’incertitude.

Il y a eu deux raisons de se réjouir aux USA cette semaine: la célébration du 4 juillet et le début du 121^e mois d’expansion économique, la plus longue de l’histoire américaine.

William de Vijlder analyse les impacts du réchauffement climatique sur les différents acteurs économiques en s’appuyant sur la notion de bilan comptable.

En France, la décélération frappe l’industrie manufacturière et les services, alors qu’en Allemagne, elle est principalement concentrée dans le secteur manufacturier.

Les perspectives de risque restent orientées à la baisse et les indicateurs pour les prochains trimestres laissent présager une faiblesse persistante…

La Fed a franchi une étape clé et s’apprête désormais à adopter une politique plus accommodante.

ABN Amro (0,55%), la Caisse des dépôts (8%), Euroclear (8%), la Société fédérale de participations et d’investissement (4,5%), et BNP Paribas (2,22%) signent pour deux ans de plus.

La résilience du secteur des services dans la zone euro dépendra en très grande partie de l’évolution de la situation en Allemagne où l’écart entre les PMI des deux secteurs est anormalement élevé.

La décision d’un assouplissement supplémentaire, avec le prolongement de la forward guidance a été unanime.

D’après une enquête réalisée auprès des directeurs financiers de 469 entreprises américaines, 84% d’entre eux s’attendent à une récession aux États-Unis au premier trimestre 2021.