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Les analystes ont fraîchement accueilli une performance largement attendue. L’ampleur des frais exceptionnels a toutefois surpris.

Au troisième trimestre, la profitabilité a été grevée par des amortissements élevés et par les frais résultants de la séparation d’avec Novartis.

La somme servira à refinancer d’autres prêts et sera utilisée pour les «besoins généraux» de l’entreprise.

Le résultat d’exploitation a souffert des frais engagés pour l’établissement en une société autonome. L’action clôture sur un gain de 1,6%.

Les américains Blackrock, numéro un mondial de la gestion d’actifs, et The Capital Group détiennent des participations respectives de 5,37 et 4,69%.

L’action a grimpé dès les premiers échanges. Novartis, désormais amputée de la valorisation de son ancienne filiale ophtalmique, a par contre eu du plomb dans l’aile.

L’opération doit notamment permettre à l’actuelle direction de Novartis de se concentrer sur la rentabilité des activités pharmaceutiques.

Le titre du gestionnaire de fortune zurichois viendra lui remplacer celui de Dufry au SLI.

Le géant pharmaceutique rhénan précise que sa filiale prendra d’emblée l’une des vingt places du Swiss Market Index (SMI), en plus de son inscription sur le Swiss Performance Index (SPI).

La filiale du groupe pharma acquiert Powervision, fabricant de lentilles intraoculaires innovantes. La bourse ne voit pas cette opération d’un très bon œil.