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Si l’économie mondiale devait à la surprise générale se redresser, ce sont les actions européennes qui en profiteraient le plus.

Le Mexique, leader mondial du «reshoring», attire les investisseurs. A la veille des élections, le président propose un net relèvement des retraites.

La concurrence de la Chine affaiblit le fer de lance de l'industrie allemande.

Alors que l'incertitude croissante des marchés et le risque géopolitique représentent des vents contraires potentiels pour les investisseurs, une stratégie à long terme pourrait les aider à minimiser les incertitudes.

Le rapport CPI publié hier réaffirme notre opinion selon laquelle la Réserve fédérale ne réduira pas ses taux avant le milieu de l'année.

Les révisions haussières sur la croissance mondiale devraient se poursuivre dans les semaines qui viennent. Les anticipations d'inflation pourraient elles aussi remonter après les hausses des composantes prix payés des PMI.

Après une période 2021-2022 dominée par des chocs d’offre majeurs, l’année écoulée a vu ces éléments revenir graduellement dans la norme.

Maintenant, les réserves de liquidités pourraient représenter des occasions d'investissement manquées.

L'impact net des développements macroéconomiques, politiques et stratégiques en 2024 devrait être globalement favorable aux marchés boursiers.

Les interventions de la Réserve fédérale américaine et du Trésor doivent-elles nous inquiéter ou nous réconforter?