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Quand le marché obligataire s’invite à la fête, mieux vaut l’écouter: il fixe le ton… et le coût du capital.

Les actifs risqués progressent, misant sur une détente commerciale, malgré les incertitudes budgétaires aux Etats-Unis et la volatilité des taux longs.

Si les bons du Trésor américain ont subi des pressions à la vente, les actions et la dette des entreprises américaines ont relativement bien résisté.

Entre recherche de refuge et stratégie, l’engouement pour le métal jaune et les cryptomonnaies traduit une défiance croissante envers le système monétaire.

La hausse des droits de douane devrait toutefois peser lourdement sur le commerce extérieur dans le courant de l’année. Les perspectives restent donc moroses, en particulier pour l’industrie MEM suisse.

Depuis le début de l’année, les actions allemandes réalisent un parcours impressionnant. Alors que les actions mondiales progressent de 2,7%, le DAX s’adjuge 22%, bien au-delà des actions européennes qui gagnent pourtant déjà 10,7%.

Les entreprises ne peuvent pas se contenter «d’ajouter de la diversité puis de remuer le tout» pour obtenir de meilleurs résultats, selon l’étude pilotée par Alex Edmans de la London Business School.

Les stablecoins, qui reposent sur Ethereum et d’autres blockchains programmables, continuent de gagner en importance, mais dans un contexte bien différent de la dynamique spéculative des cycles précédents.

Les bénéfices des entreprises américaines pourraient ralentir en raison de la persistance des taux d'intérêt élevés, des conflits douaniers, de l'incertitude géopolitique et de la modération des activités de fusion et d'acquisition.

Les ETF actifs vont-ils remplacer les fonds d’investissement traditionnels? Sans parler de la tokenisation des fonds qui, elle aussi, remet en question les modèles établis.