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Les pressions exercées sur les revenus poussent les banques européennes à résoudre leur problème de coûts structurels.

Les signes que la faiblesse causée par la poussée protectionniste se répand au-delà de la production manufacturière ont jeté une ombre sur la croissance.

La Banque centrale est intervenue par trois fois déjà cette année pour relever le taux directeur et le porter à 1,5% lors de sa réunion de septembre.

Graphique de la semaine de DWS. Pour les entreprises, le manque de pouvoir de tarification dans les secteurs cycliques survient à un moment critique.

Alors que l’espoir d’une fin proche du litige sino-US augmente, les droits de douane existants ont été maintenus et continuent de peser sur l’économie.

Notre pays reste en tête du classement Credit Suisse de la richesse par adulte. Après les USA, la Chine contribue le plus à la création de richesse mondiale.

Le reflux de l’aversion au risque sur le Brexit entraîne conjointement une hausse du GBP et un rebond des taux govies core européens.

Le point positif concernant les nouvelles prévisions du FMI est que la croissance mondiale devrait s’améliorer l’année prochaine. Mais ce sera grâce à des facteurs de reprise spécifiques à certains pays.

Un tableau cohérent se dessine à long terme à l’échelle internationale, avec des retombées considérables pour les investisseurs.

La tentation sera grande pour le président américain d’utiliser l’arme de l’intervention sur les changes, une des seules qui lui restent.