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L’indice technologique clôture en baisse de 2,46% à 13’533,05 points et le S&P 500 lâche 0,78% à 3’876,50 points. Le Dow Jones parvient à grappiller 0,09% à 31’522,09 points.

Grâce à un bond de 3,70%, le baril londonien clôture pour la première fois depuis début janvier 2020 au-dessus de la barre des 65 dollars. Le WTI grimpe de 3,80% à 61,49 dollars.

Paris a fini proche de l’équilibre (-0,11%), Francfort a cédé 0,31%, Londres 0,18% et Milan 0,55%. A Zurich, le SMI a cédé 0,07%.

Craintes d’une pression inflationniste susceptible de perturber la reprise économique naissante et de modifier les politiques monétaires.

Dans la zone euro, la production industrielle a déçu tandis que le PMI manufacturier a surpris agréablement.

Nasdaq +0,07%, Dow flat, SPX -0,19%, Russell +2,2%, SOX +2,44%, Eurostoxx +0,88%, SMI -0,12%.

L’indice vedette Nikkei a gagné 0,46% à 30.156,03 points et l’indice élargi Topix a pris 0,49% à 1.938,35 points.

Le Dow Jones s'est établi à 31.494,32 points, sans changement. Le Nasdaq a grappillé 0,07% à 13.874,46 points et le S&P 500 a lâché 0,19% à 3.906,71 points.

Paris a gagné 0,79%, Francfort 0,77%, Londres 0,10%, Milan 0,94% et Madrid 1,16%. A Zurich, le SMI a cédé 0,12%.

Vers 11h55, le Brent perdait 1,60% à Londres par rapport à jeudi, à 62,91 dollars. Le WTI lâchait 2,15% à 59,22 dollars, au lendemain d’un sommet à 62,26 dollars.