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Quitter la Russie serait délicat pour Société Générale: perdre Rosbank lui coûterait environ 1,8 milliard d’euros et il lui faudrait trouver une solution pour ses 12'000 salariés.

L’exposition directe du célèbre assureur à la Russie et à l’Ukraine est faible mais des risques indirects existent dans les secteurs de «l’aviation, de la marine, du crédit commercial et de l’assurance du risque politique».

La société profite de l’occasion pour lancer un appel au recrutement «de banquiers mécontents ou de gestionnaires d’actifs s’estimant bloqués dans leur évolution professionnelle».

«C'est grâce à notre approche tournée vers l'avenir, résolument axée sur la numérisation et l'innovation que nous sommes sortis encore plus forts d'une année économiquement difficile», a commenté Aron Veress, PDG de Liechtenstein Life.

«Cette année encore, nous avons pu atteindre un record d’encours sous gestion, poursuivant notre trajectoire de croissance avec un doublement des actifs au cours des sept dernières années», a commenté Naïm Abou-Jaoudé, directeur général de Candriam.

Postfinance, Raiffeisen et la Banque cantonale de Zurich ont par contre obtenu de moins bonnes notes de la part de la Finma. Leurs plans d’urgence sont «inexécutables».

L’arrivée de Chabi Nouri s’inscrit dans l’ambition de Mirabaud de soutenir le développement d’entreprises révolutionnant le Lifestyle, et en particulier des sociétés pionnières dans la tech et le digital.

Helvetia a dégagé l’an dernier un bénéfice net de 520 millions de francs, étoffé de près de 85%. L’assureur santé espagnol, repris mi-2020, a participé à hauteur de 72 millions à la performance.

La grande banque affirme avoir par le passé déjà effectué des provisions pour cette affaire. Une somme de 500 millions de dollars serait en jeu.

La suspension du responsable de l’Autriche et de la région Europe de l’est Luciano Cirina, en lice pour le poste de directeur, intervient «avec effet immédiat et jusqu’à nouvel ordre».