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La baisse plus importante que prévue des taux aux Etats-Unis cacherait-elle une récession ou une crise financière sous-jacente? Nous n’en croyons rien.

Les banquiers centraux ont été lestes pour s’auto-congratuler du recul de l’inflation. Au Wyoming, on devrait être bien placé pour savoir qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.

Michel Girardin, de l’Université de Genève, demande que les banques centrales prennent en compte les patrimoines immobilier et financier dans l’inflation pour les rendre plus pro-actives.

La performance réalisée avec nos placements reste un critère privilégié pour nous en défaire. A tort.

Les marchés restent rivés sur la Fed, mais les baisses de taux d’intérêt tant attendues jouent les arlésiennes.

J'ai toujours aimé être bullologue. Voir les bulles naître, enfler puis éclater... l'intelligence artificielle saura-t-elle faire exception à la règle?

La lecture d’analyses financières arguant que «Cette fois, c’est différent!» devrait nous inciter à tirer la sonnette d’alarme.

La croissance de l'économie américaine redémarre et les marchés s'en inquiètent. C'est que la baisse des taux pourrait être retardée.

Chaque fois que des investisseurs jouent massivement des titres à la baisse, la polémique revient.

Amazon annonce une rentabilité minimum de 9% pour sa monnaie virtuelle. Mais un tel score pourrait tout aussi bien être virtuel.