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Le conseiller national vaudois se libère de ses engagements à la tête du groupe socialiste au Parlement en vue d’accéder à la présidence de la commission d’enquête parlementaire sur la reprise de la banque par UBS.

L’absorption de la banque par UBS, dont la finalisation est agendée au 12 juin, induit un vaste remaniement des indices compilés par l’opérateur de la place helvétique.

Après la finalisation, les actions et les certificats de dépôt américains (ADS) de Credit Suisse seront décotés des places zurichoise et new-yorkaise. Les deux titres clôturent en hausse.

Walter Kielholz rejette les reproches de l’UDC, qui dénonce une mauvaise gestion de la banque et un copinage avec le PLR, ayant amené à la banqueroute.

Les tendances structurelles suggèrent que les investisseurs devraient à nouveau s'intéresser aux «actifs réels», notamment les matières premières, les infrastructures et l'immobilier.

Le gouvernement juge «utile et nécessaire d’examiner en détail les événements qui ont conduit à cette acquisition».

Selon plusieurs sources proches du dossier citées par Reuters, la banque veut éviter un conflit réglementaire potentiel résultant de sa fusion avec UBS.

La CEP devra enquêter sur la gestion du dossier Credit Suisse au cours des dernières années par les institutions fédérales et aussi sur les événements qui ont conduit à la fusion d’urgence avec UBS.

Il y a peu, le rendement des bons du Trésor américain à trois mois a atteint son plus haut niveau depuis plus de vingt ans. Décryptage.

La Commission européenne estime que la fusion ne «réduirait pas de façon significative la concurrence sur les marchés où leurs activités se chevauchent au sein de l’EEE».