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Le groupe a dévoilé un bénéfice net de 707 millions de livres (819 millions d’euros) au cours des trois premiers mois de l’année.

Daniel Kummer entrera en fonction début juin et accèdera également à la direction de l’établissement.

L’établissement zurichois a réalisé une bonne collecte d’argent et augmenté sa masse sous gestion, malgré la chute boursière de décembre. Les recettes, la rentabilité et le bénéfice se sont envolés.

Malgré un contexte de marché difficile au quatrième trimestre, 2018 est marquée par le maintien de la croissance organique.

L’an dernier, le bénéfice net a augmenté de 23% à 303 millions d’euros tandis que les revenus ont crû de 3% à 1,98 milliards d’euros.

La direction ne fournit aucune prévision chiffrée pour l’exercice 2019. Elle affirme que les investissements vont se poursuivre cette année.

La croissance a été au rendez-vous dans les crédits, principale ligne de métier. Un léger relèvement du dividende est proposé.

Le directeur général de BHP Andrew Mackenzie a déclaré que la performance par ailleurs solide sur le semestre «éclipsait partiellement l’impact des interruptions opérationnelles».

L’an passé, le groupe bancaire du CEO Ross McEwan a dégagé un bénéfice net de 1,622 milliard de livres contre 752 millions de livres en 2017.

«Les affaires ont connu un ralentissement sur les trois derniers mois», admet le groupe horloger. Le titre clôture sur un recul de 6,09%.