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Entre COVID-19 et guerre des prix, le Brent décroche de 24% pour finir à 34,36 dollars et le WTI plonge de 25% et clôture à 31,13 dollars.

Le Russie se dit prête à faire face à la plongée des cours du brut et à soutenir sa monnaie.

Lundi, la Bourse de Ryad, la plus importante du Golfe, a clôturé en baisse de 7,8%.

La demande devrait se contracter d’environ 90.000 barils par jour (bpj) par rapport à 2019, selon le scénario central de l’AIE.

La réunion entre l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés rassemblés autour de Moscou a tourné au psychodrame en Autriche.

Le WTI clôture sur une plongeon de 10,1%, à 41,28 dollars, un niveau plus vu depuis avril 2016. Le Brent perd 9,4% à 45,27 dollars.

Le baril londonien clôture en baisse de 2,2% à 49,99 dollars et le WTI finit sur une perte de 1,9% à 45,90 dollars.

Les 13 pays membres vont tenter d’obtenir le soutien de la Russie pour une diminution de 1,5 million de barils par jour en réponse aux effets du coronavirus.

Le Brent fléchit de 1,4% pour s’échouer sur le seuil des 51 dollars. Le WTI recule de 0,8% et clôture sous les 47 dollars.

Lors de la semaine achevée le 28 février, les réserves de brut ont progressé de 800’000 barils, là où les analystes interrogés par Bloomberg avaient tablé sur une forte hausse de 3 millions de barils.