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Les deux cours de référence, le Brent pour l’Europe et le WTI pour les Etats-Unis, ont perdu autour de 30% depuis un pic début janvier.

Le Brent clôture sur un bond de 4,5% à 51,90 dollars et le WTI finit sur une grimpée de 4,4% à 46,75 dollars.

Le WTI a terminé vendredi en baisse de 4,9%, à 44,76 dollars. Sur la semaine il a dégringolé de 16,1%. A Londres, le Brent a plongé de 3,2%, à 50,52 dollars et de 13,6% sur la semaine.

Le groupe pétrolier mexicain subit une baisse des recettes des ventes de pétrole brut et une importante charge fiscale.

Le Brent explose le seuil des 53 dollars, pour terminer à 52,18 dollars et le WTI échoue sur le seuil des 47 dollars, au plus bas depuis plus d’un an.

Le baril de WTI clôture sur une chute de 2,3% à 48,73 dollars. Celui de Brent dégringole de 2,8% à 53,43 dollars.

Lors de la semaine achevée le 21 février, les réserves de brut ont progressé de 500’000 barils, là où les spécialistes avaient tablé sur une hausse de 2,6 millions de barils.

Encore fragilisé par le coronavirus et les craintes pour la demande, le baril new-yorkais lâche 3%. Celui de Londres repasse sous les 55 dollars.

Le Brent plonge de 3,8% à 56,30 dollars et le WTI chute de 3,7% à 51,42 dollars.

Le Brent valait 58,25 dollars vers 11h05 à Londres, en baisse de 1,79% par rapport à jeudi. A New York, le WTI perdait 1,60%, à 53,05 dollars.