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Les réserves de brut ont chuté de 7,4 millions de barils au 11 juin. Les analystes tablaient sur une baisse médiane de 2,5 millions.

Vers 11h35, le Brent valait 74,15 dollars à Londres, en hausse de 0,22% par rapport à mardi. A New York, le WTI gagnait 0,17%, à 72,24 dollars.

Le Brent termine sur une grimpée de 1,55% pour frôler les 74 dollars et le WTI finit sur une poussée de 1,75% au-dessus des 72 dollars.

Le Brent termine en hausse de 0,24% à 72,86 dollars tandis que le WTI clôture sur une perte de 0,04% à 70,88 dollars.

«Le gouvernement maintiendra une politique pétrolière qui facilite une production rentable de pétrole et de gaz», déclare la ministre du Pétrole et de l’Energie Tina Bru.

Vers 11h35, le Brent valait 72,68 dollars à Londres, en hausse de 0,22% par rapport à jeudi. A New York, le WTI gagnait 0,18%, à 70,42 dollars.

«La demande de pétrole mondiale va continuer de se reprendre et d’ici la fin de 2022, la demande devrait surpasser les niveaux d’avant-Covid», selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

Le Brent termine en hausse de 0,42% à 72,52 dollars et le WTI finit sur un gain de 0,47% à 70,29 dollars.

L’Organisation prévoit une demande de 94,1 mb/j au premier semestre puis de 99 mb/j au second, avec une progression des mobilités et donc de la consommation de carburant.

Le Brent termine inchangé à 72,22 dollars, tandis que le WTI finit sur un recul de 0,13% à 69,96 dollars.