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«Les Etats-Unis ont agi, tout le monde doit agir, c’est la responsabilité d’un leadership mondial», déclare le président américain à Charm el-Cheikh, où il subit des critiques sur l’aide aux pays pauvres.

Parallèlement, les pays du Sud s’impatientent et réclament des financements qui pourraient devenir astronomiques.

Le président démocrate va de nouveau faire pression sur les géants américains des hydrocarbures pour qu’ils réinvestissent leurs bénéfices afin d’aider à juguler la hausse des coûts de l’énergie.

Lors d’un entretien très rare, donné à la chaîne CBS, le dirigeant démocrate a pour la première fois fait savoir qu’il n’avait pas décidé s’il comptait se représenter à la présidentielle américaine de 2024.

Le chancelier Olaf Scholz lui-même a prévenu que les projets américains pourraient conduire à une «énorme guerre tarifaire».

Lors d’un entretien très rare, donné à la chaîne CBS, le dirigeant démocrate a pour la première fois fait savoir qu’il n’avait pas décidé s’il comptait se représenter à la présidentielle américaine de 2024.

Citant les bons chiffres de l’emploi, le président américain a dit espérer un atterrissage en douceur, où le pays «passerait de cette croissance rapide à une croissance stable».

Le président américain déclare que les données sont «trop élevées» mais aussi «obsolètes» car elles ne reflètent pas encore la décrue du prix de l’essence intervenue depuis la mi-juin.

«Notre inflation est une conséquence d’une très forte demande, en partie tirée par (...) ce que le Congrès a fait pour soutenir l’activité et en partie tirée par ce que nous avons fait», admet le président de la Fed.

Le président américain adresse une lettre à sept majors les avertissant de possibles mesures d’urgence du pouvoir fédéral.