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La visibilité sur l’horizon temps qui devrait laisser place à la phase de la reprise conjoncturelle est pour l’instant extrêmement faible.

Que les investisseurs aient à nouveau des doutes n’est pas une si mauvaise chose, compte tenu de l’optimisme qui régnait sur les marchés et l’excès de certitudes.

La saison des bénéfices approche à grands pas, ce qui n’empêche pas certains de revoir à la hausse leurs objectifs pour l’indice élargi.

Les bénéfices américains et également européens semblent en mesure de prendre le relais pour limiter un repli éventuel des cours.

S’en réjouir n’est pas forcément la meilleure option. Il serait préférable que les prochains mois nous apportent une meilleure coordination des cycles économiques régionaux.

Jerome Powell a acquis la capacité d’influencer le comportement des investisseurs au cours des derniers trimestres, indépendamment de chiffres économiques.

Les anticipations des opérateurs sur la politique monétaire se sont sensiblement rapprochées des messages véhiculés par les banquiers centraux.

Les derniers chiffres économiques américains ne démontrent pas un fléchissement abrupt de la conjoncture outre-Atlantique!

Se peut-il que la Chine devienne vieille avant d’être riche?

Les déficits budgétaires de pays de l’Union européenne n’ont pas atteint les niveaux que l’on observe aux Etats-Unis mais il n’y a pas à pavoiser pour autant.