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Même en tenant compte des recettes douanières, le projet de loi actuel aggrave le déficit annuel, qui devrait passer de 6% à plus de 7% du PIB dès 2026. La dette américaine détenue par le public passerait de 100% du PIB à 120% d’ici 2034.

Malgré un risque d’inflation dû au renchérissement des importations, les dépenses de consommation, qui représentent près de 70% du PIB américain, restent saines.

Les obligations brésiliennes en devise locale semblent offrir une source de revenus comparativement aux obligations émergentes de notation similaire.

L’endettement public augmente au niveau mondial en raison du vieillissement de la population, des besoins en matière de dépenses climatiques et d’un appétit grandissant pour les déficits budgétaires.