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«Banqueroute morale», «spirale», l’ingénieure informatique de 37 ans a décrit la situation d’une entreprise qui a renoncé, selon elle, à quelques principes moraux au nom du profit.

Le conseil des sages du réseaux social réexaminera le cas de l’ancien président américain dans les six mois.

Les parlementaires ont cherché à déterminer si des pratiques frauduleuses avaient été à l’origine de l’extrême volatilité sur les marchés financiers américains le mois dernier.

Des députés américains vont entendre jeudi les témoignages d’acteurs-clés de la fièvre spéculative du début d’année qui a visé plusieurs entreprises cotées à Wall Street.

«Nous pensons que permettre au président de continuer à utiliser nos services pendant cette période pose de trop grands risques», a affirmé le patron du réseau social.

«Même si je suis en complet désaccord avec le résultat de l’élection, et les faits me soutiennent, il y aura une transition ordonnée le 20 janvier», a-t-il déclaré.

Des heurts ont éclaté dans l’enceinte de la Chambre des représentants, interrompant la session qui devait confirmer la victoire de Joe Biden.

C’est la première fois que Twitter enlève des tweets du chef d’Etat pour des raisons autres que les droits d’auteur.

Nancy Pelosi a précisé qu’il restait des «inquiétudes sur le fait qu’un montant suffisant soit alloué aux allocations chômage».

L’élection présidentielle toute proche complique la donne, chaque camp craignant que l’autre s’attribue le mérite d’un accord.