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Malgré une croissance vigoureuse du PIB, la croissance du revenu réel des ménages par habitant a diminué de 3,8%.

Le taux de chômage a baissé à 2,5% en octobre, après 2,6% le mois précédent. En janvier dernier, il atteignait 3,7% avant d’amorcer une nette décrue.

Entre le 24 et le 30 octobre, 269'000 personnes se sont inscrites au chômage. Les analystes tablaient sur 277'000 nouvelles demandes.

«Le gouvernement s’attend à un taux d’inflation de 3,0% en 2021, 2,2% en 2022 et de 1,7% en 2023», a indiqué le ministère de l’Économie.

Nouveau plus bas depuis le début de la pandémie avec 290’000 demandes d’allocations entre le 10 et le 17 octobre.

Le taux d’emploi a augmenté de 0,4 point de pourcentage au Royaume-Uni (où il atteint 75,1%) et de plus d’un point au Danemark (75,4%), en Islande (79,3%) et en Norvège (75,9%). En revanche, il a diminué de 0.6 point en Suisse (78,6%).

Entre le 3 et le 9 octobre, 293’000 personnes se sont inscrites au chômage pour recevoir une allocation, soit 36’000 de moins que la semaine précédente.

L’Organisation remarque une diminution à 6,0% contre 6,1% en juillet. Ce qui indique une poursuite de la tendance à la baisse observée depuis le pic de 8,8% en avril 2020.

La semaine dernière, l’administration a enregistré 326’000 nouvelles demandes d’allocation, contre 364’000 7 jours plus tôt et 340'000 attendues par les analystes.

Au cours du mois de septembre, le chômage des jeunes a particulièrement diminué. Ainsi, 12’553 personnes entre 15 et 24 ans étaient inscrites auprès des ORP, soit 9% de moins sur un mois.