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Il est difficile d’envisager une accélération durable de la croissance si un grand nombre de ménages subit une importante perte de revenus.

Cette édition passe en revue la réaction des politiques monétaire et budgétaire qui visent à en atténuer l’impact.

La banque française s’aligne sur les recommandations des superviseurs bancaires européens dans un contexte de lutte contre le coronavirus.

Le rebond de l'activité d’après-crise devra être accompagné d’une relance supplémentaire pour maintenir la dynamique.

Le manque de visibilité domine, malgré l’action rapide des banques centrales et l’annonce d’un soutien budgétaire de plus en plus massif dans divers pays.

Aux Etats-Unis, le président Trump a promis un soutien d’envergure, mais il n’y a toujours pas de mesure concrète pour le moment.

Dès que les perturbations des chaînes d’approvisionnement auront diminué et que la demande aura redémarré, l’activité va rebondir.

De par la nature même du choc, la politique monétaire n’est pas, a priori, l’instrument le plus approprié.

Dans quelle mesure la politique économique peut réagir à l’épidémie?

Le groupe bancaire français émet un certificat de suivi d'indice qui sélectionne les entreprises sur la base de leur G-force.