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L’établissement zurichois a gonflé ses volumes hypothécaires et ses revenus. Le bénéfice net présente une solide progression, toutefois trompeuse car elle découle de la vente d’immeubles.

«Il est très improbable que la BNS relève ses taux avant la BCE afin de ne pas rendre le franc plus attrayant par rapport à l’euro», estime Irina Martin, économiste à la Banque Migros.

L’établissement du numéro un helvétique du commerce de détail a vu son bénéfice net s’étoffer de 2,3% sur un an. Les revenus ont crû de 4,7%.

L’établissement justifie sa décision par «les changements» que connaît le secteur bancaire.

Bernd Geisenberger remplace Marcel Egloff, qui part en retraite.

Le prestataire de services pour l’immobilier conservera son indépendance opérationnelle.

Le résultat net a progressé de 8,2% à 121 millions de francs au premier semestre.

 Pour les emprunts souscrits sur internet, l’établissement propose désormais une fourchette de 4,7% à 5,9%, contre un taux unitaire de 5,9% précédemment.