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Les crises obligataire, immobilière et désormais boursière incitent les investisseurs à privilégier le cash. Oui, mais quel cash? Dans quelle devise? Dollar, yen, franc, or ou bitcoin?

L'ampleur du resserrement monétaire observé devrait conduire à un épisode récessionniste.

Des rendements obligataires émergents inférieurs à ceux des T-bills: le prix à payer pour une politique budgétaire extravagante selon Louis-Vincent Gave de Gavekal.

Les contrats à terme sur le marché monétaire suggèrent que les taux resteront inchangés jusqu’à mi-2024 puis baisseront par la suite, mais moins que prévu.

Les tarifs des services devraient rester le moteur du renchérissement global en 2024, car les augmentations de salaires, mais aussi la pénurie de main-d'œuvre, exerceront une pression sur les prix.

Alors que les hausses de taux en 2022 ont été essentiellement motivées par les craintes inflationnistes, la hausse la plus récente est probablement le résultat de données économiques américaines plus solides que prévu.

La semaine dernière, le VIX a franchi la barre des 20 pour la première fois depuis le mois de mars en raison de l'incertitude entourant le système bancaire régional américain.

Les marchés obligataires offrent des rendements de plus en plus attrayants et des opportunités d'investissement positives, malgré les craintes de récession, l'inflation persistante et la hausse de la volatilité.

Les investisseurs en obligations catastrophes maintiennent leurs allocations en CAT Bond en raison d'un rendement brut total d'environ 13,5%.

L’équilibre entre la politique budgétaire et la politique monétaire décidera in fine du devenir de l’inflation.