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La période qui s’ouvre sera tout sauf tranquille pour les gardiens de l’euro, préviennent les économistes. Après quatre années de présidence ponctuées de crises, Christine Lagarde doit s’attendre à une seconde moitié de mandat sous le signe de l’instabilité.

L'indice S&P 500 est officiellement en territoire de correction, les taux d'intérêt ont augmenté davantage que le marché ne l'escomptait. Mais il y a de bonnes raisons de penser que les marchés actions ne se dirigent pas vers un marché baissier.

Du côté des actions c’est la Suisse et ses plus grands titres suisses (Nestlé, Roche, Richemont) qui souffrent le plus.

Alors qu’en début d’année, on craignait un ralentissement brutal, l’économie américaine a surpris par sa résilience.

Il est très probable que le FOMC laisse les taux d'intérêt inchangés. Les obligations du Trésor à 10 ans ont récemment flirté avec la barre des 5%, leur niveau le plus élevé depuis 2007.

L’investissement à impact est interprété de différentes manières par différentes personnes. Nous examinons certaines des définitions en jeu et leurs implications pour les investisseurs.

Ce concept difficile à cerner doit être estimé à l’aide de modèles incluant des variables financières et macroéconomiques.

La consolidation devrait s’accentuer, à l’instar de ce que les banques ont vécu durant la dernière décennie.

Dans cet environnement, nous privilégions une stratégie «barbell» avec un accent sur les échéances à 3 ans et les rendements à 10 ans.

Les chiffres publiés aujourd'hui seront probablement bien accueillis par la BCE et réduiront considérablement le risque de nouvelles hausses des taux d'intérêt.