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Les bonnes nouvelles et l’optimisme d’il y a trois mois ne sont plus qu'un lointain souvenir, laissant la place au virus, au confinement et aux plans de sauvetage.

Face au choc exogène du coronavirus, l’État se doit de s’endetter s’il veut éviter que la crise ne se transforme en dépression.

…et pourquoi les obligations et les actions ne sont peut-être pas évaluées de manière si différente.

Credit Suisse et Swissmem ont esquissé différents scénarios pour l’industrie. Les difficultés ne font que commencer.

Pour l’investisseur en dette souveraine, le suivi régulier de la durabilité des pays développés et émergents est devenu incontournable.

Le monde de l'après COVID-19 commence à se profiler. Dans cette optique, un certain nombre de questions se posent. Ebauches de réponses.

Les investisseurs peuvent tenir compte de leurs préférences ESG tout en réalisant leurs objectifs d'investissement.

Quand un analyste vedette recommande l’achat d’une action, il a une «forte opinion» concernant l’entreprise. Depuis le coronavirus, nous sommes tous devenus des prévisionnistes.

«L’excédent est davantage contenu que ce que pouvait craindre le marché», remarque Eugen Weinberg, analyste chez Commerzbank.

Dans les 5 grandes économies européennes, 27% de la population active est actuellement en chômage partiel.