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Cet accord a été conclu lors d’une visite à Doha du ministre allemand de l’Economie, Robert Habeck, alors que Berlin a entamé des démarches pour diversifier l’approvisionnement énergétique de l’Allemagne.

Situation sur le terrain, réactions internationales, sanctions: le point sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Berne reconnait que certaines entreprises pourraient être lourdement affectées, notamment dans le secteur horloger.

Le «métal du diable» a ouvert en baisse de 12%, la nouvelle variation de prix fixée par le LME dans un avis publié la veille. Vendredi, la tonne de nickel s’échangeait ainsi à 36’915 dollars.

Le gouverneur Christopher Waller admet que les événements géopolitiques ont suggéré d’avancer avec prudence.

Le président américain a abordé l’entretien avec son homologue chinois en souhaitant qu’il choisisse son camp et prenne ses distances avec Poutine.

Les grandes organisations internationales déplorent d’une seule voix qu’en plus «de la dévastatrice catastrophe humanitaire, la guerre perturbe les moyens de subsistance dans la région et au-delà».

«La politique monétaire de la Banque de Russie doit permettre une adaptation graduelle de l’économie aux nouvelles conditions et un retour à une inflation de 4% en 2024», estime l’institution sous sanctions suite à l’invasion de l’Ukraine.

L’Agence internationale de l’Energie demande aux pays producteurs de pétrole d’être «du bon côté».

«Il a été noté que le régime de Kiev cherche par tous les moyens à faire traîner le processus de négociations, en avançant de nouvelles propositions pas réalistes», a indiqué le Kremlin.