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Les indicateurs financiers du groupe ont franchi en 2024 plusieurs seuils, dont celui des 20 milliards de chiffre d’affaires et celui des 25 milliards de commandes.

Les profits ont reculé en raison d’une diminution des revenus «principalement attribuée à la baisse des prix et des volumes vendus de pétrole brut.

En 2024, le chiffre d’affaires net a progressé de 4% à 24,8 milliards de francs, alors que le résultat d’exploitation (Ebit) s’est contracté de 13% à 1,65 milliard.

La transaction permettra de renforcer sa position sur le segment des finitions pour le bâtiment, précise l’entreprise zougoise.

Cet investissement permettra «de créer des milliers d’emplois», «très bien payés», a déclaré le président américain Donald Trump.

L’activité manufacturière a continué à progresser en février aux Etats-Unis (50,3%), mais à un rythme moins élevé que le mois précédent (50,9%), selon l’indice de l’ISM, qui est légèrement sous les attentes.

Vers 16h20, la monnaie unique prend 1,14% face au dollar, à 1,0494. La livre gagne quant à elle 0,97% face au billet vert, à 1,2699 après avoir également dépassé 1% de hausse peu avant en séance.

Le baromètre du secteur manufacturier s’est établi à 45,8, après 45 en janvier.

Pologne, Estonie, Lettonie et Grèce sont en tête des pays qui investissent le plus dans leurs moyens militaires.

La hausse des prix à la consommation s’est ralentie à 2,4% sur un an dans les 20 pays partageant la monnaie unique, grâce à un reflux des tarifs de l’énergie, annonce Eurostat.