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Vers 12h35, la devise américaine reflue de 0,18% face à la monnaie unique européenne, à 1,0802 dollar pour un euro.

Pour l’Association suisse des banquiers (ASB), on ne devrait pas «limiter la compétitivité sans raison».

Cette faiblesse de l’activité de la zone euro s’explique essentiellement par les mauvaises performances de la France et de l’Allemagne, qui sont les deux principales économies de la région.

L’activité avait connu une embellie en août pour la première fois depuis avril, mais entièrement grâce aux services et à l’effet Jeux olympiques.

L’ex-fleuron de la tech compte sur la réalisation de son plan de restructuration entre novembre et décembre 2024 voire janvier 2025 au plus tard, pour redresser la barre et éviter le naufrage.

Ces remaniements s’inscrivent dans le cadre d’un effort de maximisation de l’efficience de la multinationale, au regard notamment de l’appréciation du franc.

Le Job Market Index d’Adecco a chuté de 12% lors de la période sous revue, mais la baisse du nombre de postes vacants a subi un coup d’arrêt, ceux-ci ayant augmenté de 2%.

Le groupe suisse et l’entreprise allemande ont mis sur le marché deux compagnons numériques Retinora et Brisa, indique un communiqué.

«L’incertitude entourant l’élection présidentielle fait peser des risques sur le climat général des affaires», indique la Fed de Boston, dans le «Livre Beige» de la Réserve fédérale.

Vers 21h15, la devise nippone lâche 1,04% par rapport au dollar, à 152,65 yens.