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Le Dow Jones baisse de 0,91%, le Nasdaq grappille 0,10%, et l’indice élargi S&P 500 lâche 0,23%.

Les banquiers centraux se verront probablement contraints de revoir leurs copies dans les semaines à venir vu la nouvelle donne sur les marchés et son implication pour la croissance.

Francfort, qui est revenues en territoire positif quelques instants, termine sur une chute de 4,13%, Londres de 4,38%, Milan dégringole de 5,18% et Zurich de 5,16%. Paris dévisse de 4,78% et n’avait plus connu chute pareille depuis mars 2022.

L’indice phare de la Bourse suisse termine la séance en baisse de 5,16% à 11’047,48 points. Lindt (-2,5%), UBS (-2,9%) et Straumann (-3,0%) limitent la casse.

Dans la zone euro, la croissance des prix en mars est conforme aux attentes et poursuit son ralentissement, plus rapide sur l’inflation sous-jacente.

L’indice vedette de la Bourse suisse a perdu 5,1% vendredi, et une nouvelle baisse de plus de 5% se profile ce lundi.

Vers 12h35, le Brent chute de 2,70% à 63,81 dollars et le WTI baisse de 2,84% à 60,23 dollars.

Dow -5,50%, S&P 500 -5,97%, Nasdaq -5,82%, Russell -4,37%, SOX -7,6%, Eurostoxx -4,6%, SMI -5,14%.

A la Bourse de Tokyo, l’indice vedette Nikkei a clôturé en chute de 7,82% à 31’136,58 points et l’indice élargi Topix a perdu 7,79% à 2288,66 points.

Le CAC 40 a chuté de 8% la semaine dernière, enregistrant sa pire semaine depuis le covid à la suite des droits de douane réciproques.