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Les cours de pétrole continuent d’être sous pression face aux craintes persistantes sur la reprise de l’économie chinoise.

Le Brent termine sur une perte de 1,54% à 74,79 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 1,57% à 70,17 dollars.

Le Dow Jones s’octroie 0,13%, le Nasdaq prend 0,16% et l’indice S&P 500 grappille 0,12%.

Paris fléchit de 0,12%, Francfort de 0,24%, Londres de 0,49% et Milan de 0,41%. Sur la semaine, seule Milan progresse. A Zurich, le SMI cède 0,48%.

Selon les annonces de participation publiées vendredi par SIX Exchange Regulation, quelque 26’000 titres auraient changé de main le 7 juin dans le cadre deux transactions.

L’EUR/USD tente de rebondir grâce aux décevants chiffres sur le chômage US, mais l’inflation des Etats-Unis, la Fed et la BCE seront décisives.

Dow +0,50%, S&P 500 +0,62%, Nasdaq +1,02%, Russell 2000 -0,41%, SOX +1,07%, Eurostoxx +0,13%, SMI -0,35%.

Le Dow Jones a avancé de 0,50% et le Nasdaq a grimpé de 1,02%. Le S&P 500 est repassé en «bull market», c’est-à-dire de 20% au-dessus de ses récents plus bas, à 4.293,93 points (+0,62%).

Le spécialiste des services de paiements prépayés a presque doublé son chiffre d’affaires entre 2015 et 2022 et a particulièrement bien résisté au Covid, souligne Julien Richer de Kepler Chevreux.

Milan (+0,81%), Paris (+0,27%) et Francfort (+0,18%) ont progressé, tandis que Londres (-0,32%) et Madrid (-0,23%) ont perdu du terrain. A Zurich, le SMI a cédé 0,35%.