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Le groupe genevois vise un chiffre d’affaires annuel lié aux activités récurrentes dépassant 1,3 milliard de dollars, sans donner de calendrier sur ces projections.

De janvier à décembre, la BCVs a engrangé un bénéfice net en hausse de 6,4% à 72,9 millions de francs. Le conseil d’administration propose de verser un dividende relevé de 10 centimes à 3,55 francs par action.

«Nous sommes en passe de réaliser des rendements plus élevés en 2023 et nous avons construit une base pour poursuivre la création de valeur», a commenté le PDG du groupe Noel Quinn.

Le second groupe bancaire allemand retrouvera sa place au Dax, en remplacement du gazier Linde, avec un changement effectif le 27 février.

Les primes nettes encaissées ont atteint 43,118 milliards de dollars. Les actionnaires se verront proposer le versement d’un dividende de 6,40 francs.

Le bénéfice d’exploitation, en hausse de 6% sur un an, se situe en haut de la fourchette prévue par le géant allemand de l’assurance.

Le bénéfice net part du groupe a atteint 3,34 milliards de livres (3,7 milliards de francs) l’an passé, en hausse de 13% sur un an.

L’accord, qui couvre sept États de la région, devrait permettre à Sealsq, filiale semi-conducteurs de Wisekey que la firme genevoise veut autonomiser et coter au Nasdaq, d’accélérer son expansion en Amérique du Nord.

Face aux tumultes sur les places financières, la valeur nette d’inventaire (VNI) par action s’est contractée en 2022 de 17% à 49 francs.

La banque aux deux voiles cherche à se défaire d’un portefeuille de créances douteuses d’une valeur de marché avoisinant les 250 millions de dollars, croit savoir Bloomberg.