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Cette estimation «reste incertaine à ce stade en raison de la complexité du sinistre», a indiqué le groupe munichois, dont le métier est de garantir les risques financiers pris par les assureurs.

Le chiffre d’affaires devrait atteindre 64 milliards d’euros l’an prochain, tandis que le rendement des investissements devrait s’améliorer pour dépasser les 3,0%, malgré un contexte de taux d’intérêt en baisse.

L’entreprise munichoise a donné une première estimation de son bénéfice net pour le troisième trimestre d'environ 900 millions d’euros, loin des 1,34 milliard d’euros attendus par les experts.

Le groupe munichois, dont le coeur de métier est de garantir les risques pris par les assureurs, a dégagé un résultat supérieur aux attentes du panel d’analystes sondé par Factset (1,49 milliard d’euros), malgré le poids plus élevé des catastrophes naturelles.

Selon le rapport du réassureur allemand, les pertes liées aux évènements extrêmes ont atteint 120 milliards de dollars entre janvier et juin, soit 20 milliards de moins qu’au premier semestre 2023.

Le résultat positif de janvier à mars grimpe à plus de 2 milliards d’euros, alors que les analystes tablaient sur un profit de 1,48 milliard.

Le groupe munichois, dont le coeur de métier est d’épauler les assureurs contre les risques qu’ils rencontrent, a engrangé un bénéfice net part du groupe de 4,59 milliards d’euros.

Le géant allemand de la réassurance a «relevé ses prévisions annuelles pour 2023 à un bénéfice net de 4,5 milliards d’euros», contre 4 milliards précédemment.

Le groupe de Munich, dont le cœur de métier est de garantir les risques pris par les assureurs, confirme son objectif annuel et compte dégager un bénéfice total de 4 milliards d’euros sur l’ensemble de l’année.

Le CEO Joachim Wenning explique que poursuivre collectivement les objectifs de décarbonation mondiale dans le secteur ne peut quasiment pas se faire sans «risques antitrust importants».