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En tant qu’acteur mondial, la grande banque constitue un choix «idéal» pour cette tâche, affirme jeudi l’assureur. Les contours financiers de cette collaboration ne sont pas esquissés.

Le bénéfice devrait être nettement amélioré. Aucune grande acquisition n’est prévue, affirme le CEO Mario Greco.

Selon Reuters, l’assureur aurait mandaté UBS pour organiser la cession d’un portefeuille de polices d’assurance d’une valeur avoisinant les 200 millions d’euros.

Les modalités financières de l’opération n’ont pas été dévoilées.

La procédure concerne près de vingt comparateurs de prix et d’assureurs, dont la filiale de Zurich Insurance dans la péninsule.

Le volume d’affaires affiche une progression à deux chiffres en comparaison annuelle. L’action clôture toutefois en baisse de 0,34%.

L’assureur zurichois y a repris la couverture des risques de décès et d’invalidité des quelque 16’000 salariés de l’opérateur de télécommunications Vodafone.

Ce recul s’explique par la détérioration du contexte économique, plus particulièrement la baisse des taux d’intérêt et la volatilité accrue des marchés financiers.

Zurich Insurance, via sa filiale américaine Farmers Group, et leur partenaire Farmers Exchanges avaient annoncé cette opération à 4 milliards le 11 décembre dernier.

L’assureur a amélioré sa capacité financière et celle-ci devrait rester robuste, selon l’agence de notation.