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La Commission européenne entend se donner les moyens de bloquer une acquisition ou l’accès à un marché public si une entreprise étrangère est trop lourdement subventionnée.

Le Parlement européen a adopté sa position par 540 voix, contre 119, et 31 abstentions pour un «certificat européen Covid-19». Le texte va désormais faire l’objet de discussions avec le Conseil, institution représentant les Etats membres.

Bank of America Merrill Lynch devra également verser 12,6 millions d’euros et le Crédit Agricole près de 4 millions d’euros.

Un protocole d’accord, qui n’est pas encore signé, permettra d’engager un dialogue régulier sur les services financiers.

Les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept sont unis dans la volonté d’accélérer leurs campagnes face à la troisième vague de COVID-19.

«Il est temps de reconstruire notre alliance transatlantique», a affirmé le président du Conseil européen Charles Michel en annonçant la participation du président américain au sommet ce jeudi.

Les exportations de l’UE vers le Royaume-Uni ont plongé de 27% en janvier 2021, premier mois de divorce effectif, par rapport à janvier 2020 et celles de Londres vers le continent de 60%.

Bruxelles obtient une prolongation jusqu’au 30 avril. L’application provisoire du traité, entré en vigueur le 1er janvier, devait initialement s’achever le 28 février.

Le déblocage des 672,5 milliards d’euros ne devrait toutefois pas intervenir avant plusieurs mois.

Le scénario de test de résistance retenu se base sur l’hypothèse d’une crise prolongée de COVID-19.