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Le chiffre d’affaires a progressé de 8,6%, ou de 12,8% hors effets de changes, à 577,3 millions de francs, a indiqué le groupe.

Le groupe dirigé par Isabelle Ferrand améliore son bénéfice net de 8,4% à 4,57 milliards d’euros.

La société de gestion souffre de la comparaison de l’année précédente où elle avait enregistré 320 millions de bénéfice net, après 319 millions d’euros en 2021.

Les revenus brut d’assurance - équivalent du chiffre d’affaires après un changement de normes comptables pour le secteur en 2023 - sont restés stables à 15,92 milliards d’euros.

La perte nette atteint 8,6 millions, après un bénéfice de 101,8 millions un an plus tôt. Le dividende proposé aux actionnaires sera divisé par deux à un franc par titre.

Les actionnaires se verront proposer des rémunérations relevées de 1 franc par nominative A et de 20 centimes par nominative B, à respectivement 8,00 francs et 1,60 franc.

Le spécialiste des logiciels bancaires souhaite garantir que la publication correspondra à l’évolution de l’enquête indépendante.

Le bénéfice net bondit d’un tiers à 231,2 millions de francs. Le conseil d’administration pourra proposer un dividende relevé d’un franc à 6,50 francs au titre de l’année écoulée. L'action grimpe.

Le résultat opérationnel s'est élevé à 92,2 millions, pour un bénéfice consolidé de 34,5 millions, en hausse de 66% par rapport à l'année précédente.

La question d’une séparation des activités pharmaceutiques et agricoles de Bayer, promue depuis longtemps par les investisseurs, ne se pose «pas maintenant», a déclaré son président Bill Anderson.