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Le bénéfice net du groupe dirigé par Giulio Vitarelli s’est envolé de près de 16% à 56,4 millions, soutenu par un allègement de la charge fiscale.

La société de participations s’attend à avoir dégagé une perte semestrielle de 9,7 millions de francs.

Au premier semestre, les revenus nets des commissions ont grimpé de 82,7%. La direction relève ses attentes pour l’ensemble de l’année et le titre bondit de 7,5%.

La progression de 17,2% des commissions sur les ventes de l’antifongique Cresemba et de l’antibiotique Zevtera ont assuré l’essentiel des recettes de 69,3 millions (+9,7%).

Son bénéfice net trimestriel s’est élevé à 1255,7 milliards de yens (10,74 milliards de francs), une progression de 11,9% sur un an.

«Au cours du trimestre écoulé, Eurizon a poursuivi le renforcement de sa marque à l’étranger», a déclaré Saverio Perissinotto, Administrateur délégué d’Eurizon.

Le résultat net du deuxième trimestre passe de 2,25 milliards de dollars à 197 millions suite à l’accord de fin de poursuites dans l’affaire 1MDB.

Le résultat du groupe français met toutefois en évidence les conditions d'exploitation et les risques de crédit sévères auxquels sont confrontées les grandes banques européennes.

Le creux de la vague a été atteint dès le mois d’avril, avec un tassement de 33%, pour s’atténuer à 26% en juin. L’action clôture en hausse.

La Banca Monte dei Paschi di Siena a subi un impact exceptionnel négatif de 476 millions d’euros lié à la fiscalité.