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En janvier, le réassureur avait indiqué que son taux de solvabilité SST avait dépassé la cible de 220%. Le taux de l’an dernier est inférieur à 2018, où il s’élevait à 251%.

Le Conseil d’administration ne mettra pas son programme en place malgré la validation des actionnaires.

Le président du conseil d’administration de Swiss Re, Walter Kielholz, s’attend à un effet de rattrapage. «Les gens veulent à nouveau consommer et voyager».

Le nouveau groupe représenterait environ 23 milliards d’euros de primes, dont 25% de réassurance.

La note de dette à long terme de Swiss Re a été conservée à «A+» et celle de stabilité financière (IFS) à «AA-».

Actuellement, les comptes consolidés sont réalisés selon la norme US GAAP.

De juillet à septembre, le munichois a engrangé un résultat net part du groupe de 884 millions d’euros, contre 505 millions d’euros un an plus tôt.

En termes d’activité commerciale, le groupe fait également mieux que prévu avec une hausse de 6,5% des primes brutes émises.

Sur la période de juillet à septembre, le groupe a dégagé un bénéfice net de 850 millions d’euros contre 483 millions en 2018.

Le réassureur français table sur une progression des primes brutes émises de 4 à 7% par an à l’horizon 2021.