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Vers 11h05, le Brent perdait 0,70% à 105,53 dollars. Le baril de West Texas Intermediate baissait quant à lui de 0,53% à 102,06 dollars.

Le Brent termine sur un bond de 5,05% à 106,27 dollars et le WTI repasse aisément la barre des 100 dollars grâce à une impulsion de 5,13% à 102,60 dollars.

Le Brent termine au-dessus des 100 dollars, avec une appréciation de 2,07%, et le WTI gagne 1,88% à 97,59 dollars.

Le Brent termine sur un recul de 0,47% à 99,10 dollars et le WTI finit sur un fléchissement de 0,53% à 95,78 dollars.

Après une journée de plongeon mardi, le Brent termine la séance de mercredi sur une petite hausse de 0,08% à 99,57 dollars et le WTI finit sur une avancée de 0,47%, à 96,30 dollars.

«Nous continuons à consolider la position du pays en tant que fournisseur d’énergie fiable et soutenant la sécurité énergétique mondiale», a déclaré le président Mohammed ben Zayed al-Nahyane.

Durant la semaine achevée le 8 juillet, les réserves commerciales d’or noir se sont accrues de 3,3 millions de barils en net, alors que les analystes attendaient une contraction de 1,5 million.

Dans ce contexte volatil, l’Agence internationale de l’énergie revient à la charge sur l’importance de mesures visant à modérer la demande et les prix des carburants.

Les craintes d’une récession mondiale font chuter le cours du baril londonien de 7,10% à 99,49 dollars et dégringoler le WTI de 7,92% à 95,84 dollars.

Les pays producteurs de brut se basent sur une hypothèse de 3,2% de croissance économique mondiale en 2023, en recul par rapport aux projections de 2022 (3,5%).