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En annonçant une baisse des taux de 0,5%, Jerome Powell a réussi un exercice délicat: surprendre le marché et les économistes par l’ampleur de la baisse, tout en rassurant par son communiqué officiel et son discours.

La révolution spatiale ouvre la porte à de nouveaux mondes, et à une économie interplanétaire. Elle permettra de relever d’immenses défis sur terre.

La Banque Centrale Européenne vient de baisser ses taux directeurs de 25 points de base pour la deuxième fois depuis juin dernier. La Réserve Fédérale américaine s’apprête à faire de même.

L’ensemble du segment des équipements technologiques tirés par la troisième vague d’IA devrait être assez porteur d’ici trois ans, selon Christophe Pouchoy, de LFDE.

Le stress du début août, malgré des déclencheurs sérieux, a vite été oublié avec la reprise des marchés.

La première confrontation directe entre Kamala Harris et Donald Trump est l’occasion d’analyser les programmes des deux candidats et surtout d’en évaluer les impacts pour l’économie et, par ricochet, pour les marchés financiers.

La poursuite de la décrue de l’inflation donne de la liberté de mouvement aux banquiers centraux. La fameuse cible des 2% ne semble plus qu’à une portée de main aussi bien aux Etats-Unis qu’en zone euro.

Si les baisses de taux devaient s’avérer fortes ou rapides, cela ne pourrait être dû qu’à deux facteurs, tous deux problématiques: un reflux très rapide de l’inflation et un fort ralentissement de l’économie.

Synonyme de repos, de soleil et de transhumance sur des routes bondées, la trêve estivale ne suspend pas pour autant les hostilités sur les marchés financiers. L’histoire nous l’a démontré.

Le franchissement de sommets s’affiche fréquemment en une ces derniers temps. Pourtant, en bourse les records ne sont pas aussi peu fréquents que l’on pourrait croire.