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La plus grande banque américaine en termes d’actifs a réalisé un chiffre d’affaires de 45,31 milliards de dollars (+8%) et un bénéfice net de 14,64 milliards (+9%). Les analystes tablaient respectivement sur 43,99 milliards et 13,15 milliards.

Les poids lourds JPMorgan Chase, plus grande banque américaine en termes d’actifs, et Goldman Sachs ont notamment profité de l’absence des charges exceptionnelles subies en 2023 après la chute de la Silicon Valley Bank.

Le chiffre d’affaires trimestriel progresse de 11% sur un an à 42,77 milliards de dollars tandis que le bénéfice net bondit de 50% à 14 milliards. Le BPN ressort à 4,81 dollars, contre 4,09 dollars anticipés par le consensus.

Les trois grandes banques et l’opérateur de l’application Zelle sont dans le collimateur du Bureau de protection des consommateurs pour les questions financières.

Goldman Sachs dit avoir profité d’une amélioration de la situation dans la banque d’investissement. Une évolution également évoquée par la directrice de Wells Fargo.

Entre juillet et septembre, la banque américaine réalise un chiffre d’affaires de 42,65 milliards de dollars (+7%) et un bénéfice net de 12,90 milliards (-2%). L'action décolle.

La banque américaine JPMorgan Chase a dégainé la première, annonçant un chiffre d’affaires de 50,99 milliards de dollars et bénéfice net en hausse de 25% au deuxième trimestre à 18,1 milliards.

Selon la Fed et la FDIC, les «testaments» de BofA, Goldman Sachs et JPMorgan Chase présentent des «lacunes», voir même des «insuffisances» pour celui de Citigroup.

La banque a manqué à son devoir de «contrôle adéquat des données pour assurer un programme de surveillance effectif», juge l’Office of the Comptroller of the Currency.

JPMorgan Chase, BofA, Wells Fargo et Citigroup, qui ouvraient la saison américaine des résultats, ont toutes enregistré des bénéfices nets supérieurs aux attentes. Mais toutes ont également déçu sur le plan du chiffre d’affaires.