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Grâce aux négociations entre la Finma et la SEC, les sociétés suisses peuvent à nouveau déposer des demandes d’exercer auprès du gendarme des marchés financiers américains.

Les changements contribueront «de manière décisive à réduire la probabilité de survenance de crises et de liquidations sur la place bancaire suisse», estime le régulateur.

La Finma a également identifié des faiblesses dans les procédés d’évaluation des biens immobiliers, à l’instar des taux de capitalisations plus faibles pour la valorisation des immeubles de rendement.

Lors de l’assemblée générale ordinaire, le président Colm Kelleher rappelle que l’établissement est déjà soumis à «certaines des exigences en matière de capitaux propres les plus strictes du monde».

Le régulateur veut aussi pouvoir communiquer sur son activité de surveillance, introduire un régime de responsabilité pour les dirigeants et infliger au besoin des amendes.

L’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) a créé la division Expertise intégrée des risques.

La transmission de documents de la Finma au Service de droit pénal du Département fédéral des finances est validée par le Tribunal administratif fédéral.

Aucun compromis ne doit être fait sur le «cœur» des exigences, soit une couverture complète en fonds propres des filiales étrangères du numéro un bancaire helvétique, a averti le patron de la Finma, Stefan Walter.

Le Conseil national a soutenu mardi toutes les mesures proposées par la commission d’enquête parlementaire (CEP) sur la débâcle de Credit Suisse.

La chambre des cantons soutient toutes les mesures proposées par la commission d’enquête parlementaire (CEP) sur la débâcle de Credit Suisse.